Si hématurie, HTA ou IR avec protéinurie > 3g / 24h, hypo protidémie < 60g, albumine < 30g / L = impur.
Diagnostic :
Histologique après biopsie rénale.
Traitement = inhibiteur de l'enzyme de
conversion IEC
Néphropathie tubulo-interstitielle :
Atteinte au niveau de l’interstitium rénale :
- aigue : infiltrat cellulaire
- chronique : infiltrat + fibrose
Clinique :
Créat 3 x sup à la norme, protéinurie < 1,5g / 24h, leucocyturie +/- bactéurie, et signe d’IRC (HTA, OMI, créat augmenté…).
Examen complémentaire :
Échographie rénal, UIV
Causes :
Pyélonéphrite chronique infectieuse, obstructive ou toxique.
Néphropathie héréditaire :
- Polykystose rénale :
Présence de kyste important au niveau du rein et du foie, anomalie crânienne et polype digestif.
Représente 8 à 10% des dialysés en france.
Transmission autosomique dominante, évolution d’une génération à l’autre.
Clinique :
Douleurs lombaires dû au kyste, avec une hématurie macroscopique avec 10 à 15 % de lithiases d’acide urique associées.
Stade avancé entraînant IRC, HTA évoluant vers la dialyse.
- Syndrome d’alport :
Autosomique récessive ou lié à X provoquant 2 atteintes, néphropathie glomérulaire et surdité de perception.
Signes = hématurie, protéinurie, IR.
Avec une évolution plus grave chez les garçons.
L’insuffisance rénale aigue :
Arrêt temporaire et réversible de la filtration glomérulaire de manière brutal
Cause :
Obstructive = lithiases, tumeurs, (bilatéral entraînant des hyperpressions hydrostat)
Fonctionnelle = hypo-perfusion rénale dû à un choc (allergie, septique, hypovolémique, accident hémo, diarrhée +++ et vomissement +++).
Parenchymateuse = néphropathie aigue dû à une intoxication médicamenteuse ou une atteinte secondaire qui a évoluer.
Diagnostic sur examen :
IRAO = écho si dilatation bilatérale = intervention urgente pour néphrostomie pour drainer le rein et de faire diminuer la créatinine.
IRAP = dépend de la cause, ex si allergie = arrêt du traitement.
IRAF = possibilité de dialyse dû au choc car si hémo entraîne des variations de TA jouant sur l’efficacité du tubule proximale dont les cellules vont se nécroser.
Signes cliniques :
Urémie aigue avec diminution de la diurèse.
Biologie : urée, créatinine, protéinurie, hématurie, K augmenté, acidose.
ASP et écho rénal.
Traitement :
Cause principale, conservateur avec diminution de l’apport hydrique, sodé et potassique.
Dialyse :
Pose de KT dans veine fémorale, sous clavière ou jugulaire.
2 types de KT (simple ou double).
Principe = faire passer le sang du malade par une membrane superficielle.
Fabrication de dialysat par la machine permettant l’échange du milieu le + concentré vers le – de Na, K, Ca, cl, RA, urée et créatinine….
Séance dure 3 à 4h et se fait 1 à 2 x/ sem.
Le ionogramme est le seul moyen de vérifier le bon fonctionnement de la fonction rénale.