Troubles psychologiques jamais installés chez les enfants d’où la difficulté.
Plutôt on intervient, plus vite on donne les moyens de pouvoir redémarrer sur de meilleures bases (d’éliminer la souffrance).
Prévention = voir les signes avant coureur et éviter l’installation d’une pathologie psychologique.
3 axes dans la symptomatologie :
– troubles fonctionnels ou à expression somatique (troubles du sommeil, alimentaire..)
– troubles du comportement (agressivité, violence, excitation, inhibition)
– troubles instrumentaux (de la motricité : latéralisation -> droitier/ gaucher, de l’apprentissage, du langage).
But de la prévention :
Entretien clinique :
Parents/ enfants (1ère approche -> dynamique familiale : place du père ?) -> place de chacun ?
Sinon il peut y avoir un dysfonctionnement parents/enfants
Anamnèse :
1) histoire de l’enfant (grossesse, accouchement, les 1ères années -> développement, scolarité, fratrie, évènement médicaux).
2) relation familiale (remariage, travail de la parentalité)
3) données physiopathologiques (-> troubles ?)
3 buts dans un entretien clinique :
1) préciser les symptômes de l’enfant (son histoire)
2) apprécier les attitudes affectives de chaque parents/ enfant
3) prendre en compte la souffrance psy des parents.
Symptômes :
– troubles fonctionnels (psychothérapie :
– parents/ enfants)
– enfants
– troubles du comportement (psychothérapie aussi)
– troubles instrumentaux (entretien thérapeutique, orthophonie/ psychomotricité) Si cela n’est pas pris en compte -> troubles intra-psychique (phobie, angoisse, peur).
C’est par des plaintes que l’enfant exprime ces troubles. Si on passe à côté -> cristallisation -> pathologique adulte.